En 1850, le Conseil communal, secondé par le comité de salubrité, s’efforce d’introduire des améliorations dans la condition des classes ouvrières.
L’hygiène publique a pris dans l’administration le rang que son importance lui assigne et d’un autre côté des hommes bien éclairés s’occupent activement des recherches qui peuvent amener des changements salutaires. On a cherché à exciter l’émulation par des prix de propreté à accorder aux familles dont les maisons seraient tenues dans le meilleur état.

Le lavoir de la rue Neuve avec, en arrière-plan, la maison des Glaïeuls.
Archives C.C.J.
Article réservé aux abonnés
Afin de poursuivre la lecture de cette article, veuillez vous abonner.
Avec votre abonnement, profitez de :
- L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
- Le journal en version numérique
- Un confort de lecture avec publicité limitée
Vous avez déjà un compte ?