Les recettes « oubliées » de Nicole

Il y a quelque chose d’immuable, d’ineffable dans l’observation de la nature : un sentiment joyeux qui conduit à l’écoute et à la transmission des savoirs. Ce sentiment fut de tous les temps.
1er avril, 08h00 du matin, au sommet de la rue Grand’Ry à Cornesse, après une nuit glaciale, le bleu du ciel éclatant et le soleil radieux, sa douce chaleur malgré le vent froid qui va balayer l’air tout au long du jour. Parmi les denses et serrés tapis de pâquerettes formant des notes blanches, un nombre plus important qu’autrefois offre leurs corolles ouvertes dans des robes nuptiales aux ligules blanches ponctuées de rose carmin.

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